Iran: l'échelle des tensions monte

Le chef suprême de l'Iran a déclaré que le chef Donald Trump est vraiment un «clown» qui ne fait que soutenir le peuple iranien et peut «lui pousser un poignard dangereux» dans le dos, alors qu'il a frappé d'un ton provocateur lors de son tout premier sermon du vendredi à Téhéran en 8 ans . L'ayatollah Ali Khamenei a déclaré que les funérailles de masse de la meilleure commune iranienne, qui avait été détruite lors d'une frappe aérienne américaine au cours de ces 30 jours, démontrent que les Iraniens gardent la République islamique malgré ses tests actuels. Il a expliqué que le meurtre «lâche» de Soleimani avait été retiré du groupe de personnes de la condition islamique au commandant le plus efficace de la bataille. En réponse, l'Iran a introduit un barrage de missiles balistiques se concentrant sur les troupes américaines en Irak, sans avoir causé de blessures graves. Khamenei a déclaré que le coup rencontré avait porté un «coup à l'image de l'Amérique» comme étant une superpuissance. Dans une partie du sermon donné en arabe, il a expliqué que la «vraie punition» sera de pousser le You.S. pour vous éloigner de votre côté moyen-oriental. Alors que les Gardiens de la révolution iraniens se préparaient à la contre-attaque des États-Unis qui n'est jamais arrivée, ils ont incorrectement photographié un avion de ligne ukrainien peu de temps après son départ de l'aéroport international de Téhéran, éliminant les 176 voyageurs à bord, principalement des Iraniens. Les organismes gouvernementaux ont caché leur rôle dans la catastrophe pendant trois jours et trois nuits, blâmant d'abord l'accident d'une difficulté particulière. Leur entrée en fonction a entraîné des jours de manifestations dans le quartier, que les forces de sécurité ont dispersées avec des munitions et du carburant lacrymogène. Khamenei a qualifié l'abattage de l'avion d'un "accident amer" qui a autant attristé l'Iran que satisfait ses ennemis. Il a déclaré que les ennemis de l'Iran s'étaient emparés de la collision pour interroger la République islamique, le bouclier révolutionnaire ainsi que les forces armées. En outre, il s'est déchaîné dans des endroits occidentaux, déclarant qu'ils pourraient être aussi fragiles pour "amener les Iraniens à genoux". Il a expliqué la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne, ce qui a provoqué dans la semaine un mécanisme de questionnement pour tenter de remettre l'Iran en conformité avec l'arrangement nucléaire de 2015, qui s'était effondré, avait été des autorités gouvernementales «méprisables» et des «serviteurs» des États-Unis. Il a déclaré que l'Iran était prêt à conclure un accord, mais pas avec l'Amérique. Khamenei a gardé le meilleur lieu de travail du pays depuis 1989 et contient le dernier mot sur toutes les décisions importantes. Le chef, âgé de 80 ans, a sincèrement pleuré lors des funérailles de Soleimani et a juré de "sévères représailles" contre les États-Unis. La source: avion de chasse